lundi 5 janvier 2009

Mais quelle architecture magnifique... !

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J'aurais été bien en peine de situer la pièce dans ce dédale de corridors carapaçonnés de bois odorants, mais je n'eus pas a me préoccupper de cela.

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Prochain épisode le 15 janvier ..o

6 commentaires:

Antonnella a dit…

Bonne année mes amis !
Ici en angleterre la nouvelle année commence en douceur; ce soir une pluie chargée de neige s'abat mollement derrière les vitres de mon joli bow-window, et je me sens bien loin des éffluves moites de ce pays que j'ai tant détesté de prime abord ; mais aujourdhui, tout me semble différent, et je me prends a me demander si toutes ces épreuves ne m'ont pas aidée à devenir ce que je suis aujourdhui; plus mûre, plus volontaire... Quelle ironie !
Dans le fumoir chargé de mosaîques, je commençais déjà à comprendre qu'il me serait bien difficile de pouvoir reprendre mon noviçiat chez les soeurs, si par bonheur je rentrais un jour à Canterbury... Et je n'étais pas prête a accepter de me laisser voler mon avenir par le souverain d'une contrée microscopique et inconnue de nos chers atlas britanniques ... !

Anonyme a dit…

"caparaçonnés"...

Anonyme a dit…

Ah la la que vous me faites rire ma tendre et chère cousine. Ne soyez point trop prompt à regretter les froideurs humides tristes, grises ou neigeuse de notre lointaine contrée. Je gage sur mon honneur que vous grelotterez sous des couches de couvertures épaisses comme un glacier à votre retour au pays. Ne soyez pas trop dure avec vous même, la mode a enfin passé de goût pour l'aventure dans les cercles fermés de notre vieux monde de tradition.
Ouvrez vous donc à tous ces parfums qui chatouillent vos narines, apprenez à dompter les curiosités sauvages qui peuplent l'orient, ces formes viriles, ces encens savoureux qui vous caressent de leurs plumes innocentes chaque parcelle de peau dans un frisson exotique.
Aaaahh comme je vous envie ma mie.

Je vous embrasse bien tendrement, je vole en ce moment même au secour d'une jeune éperdue du fin fond des froides campagnes de l'est. Ma quête est pour le moins tortueuse, semée d'embuches et de fausses pistes, je ne dois pas me détourner de mon but, mais rester aux aguets et lui offrir la lune, lorsque transportée d'un élan d'agréable surprise, elle n'aura plus le choix que de se laisser choir amoureusement aux creux de ma chaleureuse étreinte. Voila qui n'est pas mince affaire,
Veuillez donc excusez, ma mie, encore une fois, la diligence de cette missive, car je cours !!

Sir Saihttam, votre plus dévoué confident

Antonnella a dit…

Merci mon cousin pour ces précieuses paroles; votre présence met un baume sur ma solitude ; assurément vous devez être très pris par vos aventures sub-balkaniques pour avoir oublié que je suis actuellement saine et saive, près de chez nos parents (chez votre oncle donc ) dans le Kent ! Dieu merci le retour s'est effectué il y a plus d'un an déjà, et je ne serais pas en mesure de vous écrire si j'étais restée cloitrée dans ce palais qui fut le théâtre de mes plus grandes angoisses.

Anonyme a dit…

Je serai moins verbeux que vous autres mais juste pour dire que c'est très beau ces dessins, très beau. Encore madame la comtesse, donnez nous en encore!

Anonyme a dit…

Bonjour, je viens de découvrir votre blog, vos aquarelle sont magnifiques. j'ai hâte de voir la suite!