vendredi 24 octobre 2008

... !

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C'est trop dur. ma pudeur se refuse à trop en parler.
Par la suite, j'ai dû rembourser la robe mais il s'est passé beaucoup de temps avant que ne je sois en mesure de le faire...

pour voir l'image en grand cliquez ici ! (pensez a utiliser la loupe si elle s'affiche ; si ca ne marche pas changez de navigateur...)
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BONUS :
Voir le Fichier : scanbonus4anto11bg.jpg
La suite le 4 novembre !

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Nous sommes les responsables de la revue Stupre, il n'est pas encore tout à fait trop tard! N'hésitez donc pas à nous envoyer des propositions à revuestupre AT gmail.com

Anonyme a dit…

AH...Antonella... tant d'innocence éveille mes sens !

Antonnella a dit…

... Une innocence, oui mais tellement mise a mal ! j'ai vu mon monde s'écrouler plusieurs fois autour de moi ; En premier lieu, il y a eu cet enlèvement ignoble que j'ai vécu, qui reste comme une tâche noire, sombre et indélébile. Depuis j'essaie de me reconstruire et de recouvrir une dignité qui a été rompue ; A vrai dire, Olivier, certains matins, (comme aujourdhui où la lumière dorée parvenait à larges rasades sur le parquet et jetait sa blancheur laiteuse, telle un jet, sur ma peau, ) certains matins, j'ai du mal a me regarder dans la glace. Quand je pense à ... Mais non ! j'allais trop en dire ; Ne me poussez pas trop aux confidences, je vous en conjure.
Je dois vous laisser, il ne faut pas; je vous souhaite une très bonne journée .

Anonyme a dit…

Chère Antonella

Tout d'abord, je tiens à vous présenter mon humble repentir concernant mes absences prolongées en ces temps si incertains. Il y a bien longtemps que nos échanges épistolaires s'amenuisent (il va de soi qu'il n'en tiens qu'à moi). Aussi, ayant eu vent de l'engouement avec lequel vous embrassez votre nouvelle vie de fraiche jeune femme, je me suis laisser attendrir à reprendre nos confidences si passionnantes pour lesquelles je vouais tant d'âme et tant d'amour.
Ma chère, j'admire votre courage, votre intrépidité et l'audace dont vous faites preuve, vivant vos aventure.

Aussi, je vous prie de bien vouloir accepter à nouveau mon dévouement le plus profond, ainsi que mes plus sincères et distinguées salutations.

Votre cousin germain pour toujours...

Sir Saihttam, pour vous servir !

Antonnella a dit…

Sir Saihttam; quel plaisir de vous compter a nouveau parmi nous ! Me direz-vous ce qui a pu vous retenir si longtemps ? Nos délicieuses parties de croquet m'ont énormément manqué, et votre absence avait laissé comme un trou. Nous allons pouvoir jaser à notre aise a nouveau, je suis si contente !

Anonyme a dit…

Douce Antonnella, vous en avez trop dit. Je comprends votre gène à évoquer ces sombres moments mais parler (écrire) pourrait vous libérer peut être... Epanchez vous donc !
bien à vous.

Antonnella a dit…

Mais c'est ce que j'essaie de faire en prenant la parole ici ; maladroitement quelquefois, mais toujours avec toute la sincèrité qui me caractérise. Que voudriez-vous de plus ? Je ne mets pas de mots sur certaines turpitudes, mais je sais qu'un silence seul pourra exprimer l'horreur qui m'a saisie; un silence horrifié, un silence froid comme la peur. Souvent le péril qu'on ne fait qu'entrevoir semble bien plus noir que celui qui est démasqué ; et il n'y a rien de plus monstrueux que ce que j'ai été contraite et forcée de vivre. Accordez-moi je vous prie cette dernière pudeur, car c'est celle de ceux qui ont déjà tout perdu. on m'a contrainte, forcée, humiliée, bousculée, outragée et molestée tour à tour. Ils étaient dix, ils étaient cent ; qu'en sais-je ? d'un coup, l'odieuse trappe dissimulée dans la cabine du magasin s'est dérobée sous moi et quelqu'un m'a livrée a ces sbires, ces bêtes féroces ; et en un instant j'ai vu mourir d'un coup mon adolescence et mes espoirs .

GROSPATAPOUF a dit…

Chère Antonnella, qu'attendez-vous donc en livrant ainsi votre expérience dans cette autre fosse qu'est le monde virtuel ? N'avez vous pas peur d'y être à nouveau blessée et perdue ? Etes-vous certaine que tous les esprits curieux de cet univers indéfini qui viennent contempler vos admirables dessins à travers la lucarne de leur machine seront tous là pour de nobles raisons ?

Antonnella a dit…

Mon dieu ! un journaliste! je savais bien que les paparazzi me retrouveraient, tôt ou tard ! écoutez, dites à votre tabloïd que je n'ai rien a leur dire; pas de déclaration. Moi qui croyais que les célébrités et la noblesse auraient la paix maintenant que les politiques avait pris le relais, je suis bien déçue. Blessée, perdue, disiez vous ? Mais je le suis, je le suis ! je recherchais un peu de compréhension et d'empathie dans l'anonymat relatif de la toile ; me voilà bien attrappée. Pour quel magazine travaillez vous ?

GROSPATAPOUF a dit…

Oh, c'est mal me connaître, et c'est là une vraie injure pour moi! Mais je mettrai cette réaction sur le compte de votre innocente vivacité. Ne vous inquiétez pas, je ne m'intéresse qu'à l'image dessinée, pas celle qu'on vole en un déclic et qu'on expose à la cupidité des masses, non, celle qu'on mûrit seul dans son esprit et qu'on travaille de ses mains. Voilà pourquoi je viens souvent ici, j'aime la beauté, l'émotion, les frissons secrets et les sentiments murmurés, autant de bonnes raison, n'est-ce pas ?

Antonnella a dit…

Ah les sentiments murmurés... Quelle jeune fille pourrait être insensible a un coeur ami, quand il bat à l'unisson ? Comme vous le savez, j'avais émis le voeu de me tenir écartée de l'amour profane, mais tous ces évênements ne m'ont pas laissé le temps de concrétiser mon engagement auprès de notre seigneur. Aujourd'hui j'avoue que je me surprends parfois a rêver d'amour, mais est-ce encore possible ? Et tout cela.. n'est-ce pas qu'un rêve ?
Excusez-moi, je n'ai pas très bien saisi de quoi vos parliez... Peut être que vous pourriez vous adresser a Marjolaine L ; je crois qu'elle mûrit des projets de ses mains comme vous dites, mais moi.. je n'ai que ma vie a offrir !

Dites-moi, Vous êtes sûr que vous n'êtes pas journaliste ?